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Résumé : "Les vertus de l'échec", Charles Pépin

Souvent mal perçu par notre société, l’échec est pourtant une étape essentielle de la voie vers le succès. Il permet d’apprendre plus vite et d’affirmer sa personnalité.

Résumé : "Les vertus de l'échec", Charles Pépin

Souvent mal perçu par notre société, l’échec est pourtant une étape essentielle de la voie vers le succès. Il permet d’apprendre plus vite et d’affirmer sa personnalité.

Charles Pépin nous explique donc dans son livre « les vertus de l’échec », à quel point ne pas connaître continuellement la réussite est indispensable dans la vie.  

Échouer pour apprendre mieux

Toutes les personnes inspirantes, de nos jours où des siècles précédents, ont connu l’échec avant de connaître le succès.

L’auteur, prend l’exemple de Rafael Nadal, aujourd’hui mondialement connu pour ses performances de haut niveau. S’il en est là aujourd’hui, c’est grâce à plusieurs défaites, qui lui ont permis d’améliorer considérablement sa technique et d’augmenter sa volonté de réussite.  

L’échec permet donc de comprendre pourquoi nous ne réussissons pas, mais également à l’expliquer. Il permet aussi de s’améliorer continuellement afin d’arriver au sommet.  

Comprendre ses erreurs

Pense-tu que la lumière a été inventé en une seule journée ? Impossible, n’est-ce pas ?  

Thomas Edison a multiplié les échecs avant de réussir à créer l’ampoule que nous connaissons tous aujourd’hui.  

Il a pris le risque d’échouer encore et encore, car il a compris que chaque échec le rapprochait de sa réussite. Il a dû se réinventer et réfléchir à de nouvelles solutions.  

Cet inventeur célèbre a fait preuve de courage, car sans toutes ses tentatives infructueuses, il n’aurait pas compris pourquoi ça ne fonctionnait pas et comment il devait s’améliorer.  

L’échec est le signe que le succès arrive à grand pas, il ne faut donc pas se décourager et comprendre pourquoi cela ne fonctionne pas.  

Lutter contre ses échecs apporte une force de caractère

L’échec fait partie de la vie et pousse à faire mieux.  

Pour illustrer ce fait, Charles Pépin a pris comme exemple la chanteuse Barbara. Célèbre, elle tient son succès de ses échecs personnels de sa vie et en a fait une force. En effet, dans un grand nombre de ses chansons, Barbara raconte les échecs qu’elle a connus.  

Autre exemple : Michael Jordan, un grand sportif, note ses tirs manqués ainsi que le nombre de matchs perdus. Il fait preuve de force de caractère en acceptant ses échecs qui le pousse continuellement à se dépasser et devenir une meilleure version de lui-même chaque jour.  

On peut donc noter que ces deux personnalités ont su mettre de côté leur déception et se créer une rage de vaincre. Ils acceptent leurs échecs afin de pouvoir toujours faire mieux.  

 

Une leçon d’humilité  

Qui peut se vanter de n’avoir jamais connu l’échec ? En réalité, échouer n’est jamais quelque chose d’agréable et met un sacré coup sur notre amour-propre.  

Néanmoins, devoir passer ces épreuves dans la vie est indispensable.  

L’auteur prend l’exemple de Steve Jobs, qui avait été licencié de la célèbre marque Apple. Ce dernier a avoué que c’était la meilleure chose qui lui était arrivée, car cela lui a permis de se remettre en question. Il a donc compris que rien n’était acquis, et a créé une nouvelle société.

Par la suite, Apple a décidé de l’embaucher de nouveau, et il a partagé ses nouvelles compétences et sa créativité.  

L’humilité est essentielle, quel que soit l’échec, et permet de se relever de n’importe quelle situation. On doit tous se battre pour faire mieux, et c’est admirable.  

L’échec, un simple acte manqué ?

Selon le philosophe Freud, les échecs seraient des actes manqués.

Par exemple, ne pas se réveiller le matin alors que l’on a un événement important, brûler de la nourriture lors de nos tentatives culinaires, mais aussi les échecs difficiles de la vie.  

L’inconscient pousserait donc l’homme vers l’échec afin de connaître sa vocation.  

Autre exemple, nous connaissons tous la tarte tatin. Savais-tu que les sœurs Tatins avaient juste oublié d’ajouter la pâte dans le moule et que l’une des sœurs a décidé de l’installer au-dessus des pommes ? Cet oubli a donc conduit les sœurs vers un succès qui est encore d’actualité.  

Ce n’est pas le seul exemple d’acte manqué. Le champagne ou encore le pacemaker sont des inventions qui ont été créé par des erreurs. Incroyable non ?  

Il ne faut donc pas avoir peur de l’échec, car il conduit vers de grandes réussites, il faut juste savoir prendre les opportunités !  

Essayer, c’est prendre le risque d’échouer  

En France particulièrement, nous n’aimons pas l’échec. C’est un sujet dont on peut avoir honte, et dont on ne veut pas parler.  

Aux États-Unis, c’est l’inverse ! C’est même une stratégie de communication, grâce au storytelling, dans de nombreuses entreprises.  

Prenons l’exemple de J.K Rowling avec sa célèbre saga Harry Potter, a connu de nombreux échecs. En effet, l’écrivaine s’est vu refuser de nombreux refus pour la publication de son livre. Grâce à sa persévérance, nous connaissons tous l’histoire du jeune sorcier.  

C’est également le cas de tous les entrepreneurs, ils prennent le risque d’échouer afin de pouvoir réussir. Mais si nous n’essayons pas, on prend aussi le risque de perdre de nombreuses opportunités !  

L’homme est voué à échouer

Un animal agit par son instinct et n’a pas d’objectif de vie. Il veut combler ses besoins primaires et fait face à la chaîne alimentaire.  

L’homme, contrairement à l’animal, choisi d’agir ou de rester passif, et prend donc le risque d’être face à l’échec. C’est un animal qui a la capacité d’apprendre de ses erreurs, afin de s’améliorer chaque jour.  

L’homme a besoin de trouver sa place dans la société, il doit donc évoluer avec son temps. Nous sommes donc voués à connaître les échecs tout au long de notre vie, de comprendre pourquoi, et de se perfectionner. Nous sommes en constance recherche d’évolution.  

L’échec apporte la joie

Si nous échouons et par la suite nous réussissons, nous sommes encore plus heureux que de réussir du premier coup. La réussite d’efforts considérables permet d’être fier du courage que l’on a pu mettre en place.  

Même si vivre l’échec est difficile, quand nous sommes en quête de réussite, nous profitons plus facilement des petits plaisirs de la vie.  

De plus, quand on se bat pour atteindre ses objectifs, nous sommes fiers d’avoir passé ces épreuves et de prouver sa réussite à ceux qui ne croyait pas en nous.  

L’échec permet donc par la suite d’être fier de soi !  

Les vertus de l'échec, Charles Pépin
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